Un simple geste

fleur


Tout le monde peut accomplir
De grandes choses ... parce que
Tout le monde peut servir.

Vous n’avez pas besoin d’un diplôme
Universitaire pour servir.

Vous n’avez pas besoin d’accorder
Le verbe avec le sujet pour servir.

Vous avez simplement besoin
D’un cœur plein de grâce.

D’un âme régénérée par l’amour.

(Auteur inconnu)

La Dernière Chance




Si seulement l'on pouvait savoir quand elle arrive cette dernière chance.

Celle que l'autre nous accorde avant qu'il ne tourne à tout jamais ... la page de ce bel amour. Nous saurions surement éviter cette erreur qui sera fatale à notre cœur.

Trop de personnes s'imaginent que la patience est une vertu sans limites. Trop d'êtres en amour pensent que l'autre aimera toujours en dépit de tout ce qu'ils peuvent lui faire subir... Trop sûrs d'eux, ils jouent avec le temps au nom des sentiments sans s'apercevoir que la dernière étincelle est à deux lueurs de s'éteindre.

On commet des bévues, on récidive dans ce qui blesse le plus celui ou celle qu'on aime tant... et l'on attend, tel un enfant, d'être pardonné de ses fautes impunément jusqu'à la fin des temps.

Mais vient toujours le moment ou plus rien n'achètera le pardon sur lequel on se détends comme sur un lit de pétales de roses.

À chaque écart de conduite, à chaque pardon, c'est pourtant l'une d'elles qui tombe de la rose, mais imbu de son pouvoir sur le cœur de l'autre, on ne voit même pas à quel point les émotions défraîchissent au fur et à mesure cette fleur qui se fane. Ne lui laissant qu'épines.

La dernière chance, c'est peut-être celle que vous prendrez demain en pensant qu'une fois de plus, un tendre baiser viendra effacer tout ?

D'ailleurs, n'est-ce pas toujours à l'être aimé qu'on jure de ne plus recommencer ? N'est-ce pas, à ce cœur que l'on confie sa peine et son angoisse ?

Mais un jour, un beau matin, bêtement, sans préavis, sans le moindre regret, l'autre nous dit que c'est fini, terminé. On sursaute, on implore, on pleure mais rien ne peut ramener l'être pourtant si cher.

Un bouquet de violettes, quelques larmes, deux ou trois lettres... et rien, plus rien ne ravivent la terre trop mal ensemencée.

La dernière chance, c'était celle qu'on avait prise avant que le cœur de l'autre s'octroie une libération. On pensait bien que c'était l'avant-dernière. Mais c'était la dernière, car tôt ou tard, tout vient à s'éteindre à force de mal étreindre.

C'est à jouer ainsi avec le cœur de l'autre qu'on en vient à perdre, à se perdre soi-même.

On lui reprochait sa méfiance, faute d'être incapable de lui faire confiance. Si le cœur n'est parfois que pardon, la bonté a ses limites.

Bien sûr qu'il ou qu'elle aura aussi mal que vous quand viendra l'heure du départ, mais un autre cœur viendra doucement déposer un baume sur sa plaie.

Et vous dans tout ça ? Triste portrait n'est-ce pas ?

Parce que vous l'aimiez sincèrement ? Parce que vous n'avez rien tenté pour sauvegarder cet être cher pour lequel vous viviez ? Trop tard et tant pis.

C'est à jouer avec sa dernière chance que bien souvent l'Amour meurt ... à défaut de n'avoir pu protéger son bonheur !

Ne laissez pas cette dernière chance briser votre amour.







Les trois choses les plus importantes sont :
Le Temps, l'Amour et la Vie.



Pensée du jour du 24 juin 2008




Lorsque tu as une peine d’amour, c’est l’attachement qui fait mal, pas l’amour.




Le silence, messager de paix

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Gros Cailloux - Merline




Un jour, un vieux professeur
de l'École nationale d'administration
publique fut engagé pour donner une formation sur
"La planification efficace de son temps"
à un groupe d'une quinzaine de dirigeants
de grosses compagnies nord-américaines.
Ce cours constituait l'un des cinq ateliers
de leur journée de formation.
Le vieux prof n'avait donc qu'une heure pour
"passer sa matière".

Debout, devant ce groupe d'élite
le vieux prof les regarda un par un,
lentement, puis leur dit :
"Nous allons réaliser une expérience".
De dessous la table qui le séparait de ses élèves,
le vieux prof sortit un immense
pot Masson d'un gallon
qu'il posa délicatement en face de lui.
Ensuite, il sortit environ une douzaine de cailloux
à peu près gros comme des balles de tennis
et les plaça délicatement,
un par un, dans le grand pot.


Lorsque le pot fut rempli jusqu'au bord
et qu'il fut impossible d'y ajouter un caillou de plus,
il leva lentement les yeux vers ses élèves
et leur demanda :
"Est-ce que ce pot est plein?".
Tous répondirent : "Oui".


Il attendit quelques secondes et ajouta :
"Vraiment?".
Alors, il se pencha de nouveau
et sortit de sous la table un récipient
rempli de gravier.
Avec minutie, il versa ce gravier
sur les gros cailloux
puis brassa légèrement le pot.
Les morceaux de gravier s'infiltrèrent
entre les cailloux...
jusqu'au fond du pot.
Le vieux prof leva à nouveau les yeux vers
son auditoire et redemanda :
"Est-ce que ce pot est plein?".


Cette fois, ses brillants élèves commençaient
à comprendre son manège.
L'un d'eux répondit: Probablement pas!.
"Bien!" répondit le vieux prof.
Il se pencha de nouveau et cette fois,
sortit de sous la table une chaudière de sable.
Avec attention, il versa le sable dans le pot.
Le sable alla remplir les espaces
entre les gros cailloux et le gravier.
Encore une fois, il demanda :
"Est-ce que ce pot est plein?".
Cette fois, sans hésiter et en chœur,
les brillants élèves répondirent :
"Non!". "Bien!"répondit le vieux prof.


Et comme s'y attendaient ses prestigieux élèves,
il prit le pichet d'eau qui était sur la table
et remplit le pot jusqu'à ras bord


Le vieux prof leva alors
les yeux vers son groupe et demanda :
"Quelle grande vérité
nous démontre cette expérience?"
Pas fou, le plus audacieux des élèves,
songeant au sujet de ce cours, répondit :
"Cela démontre que même lorsque l'on croit
que notre agenda est complètement rempli,
si on le veut vraiment,
on peut y ajouter plus de rendez-vous,
plus de choses à faire".
"Non" répondit le vieux prof.
Ce n'est pas cela.
La grande vérité que nous démontre
cette expérience est la suivante :
si on ne met pas les gros cailloux
en premier dans le pot,
on ne pourra jamais les faire
entrer tous, ensuite.


Il y eut un profond silence,
chacun prenant conscience
de l'évidence de ces propos.


Le vieux prof leur dit alors :
"Quels sont les gros cailloux dans votre vie?"
"Votre santé?"
"Votre famille?"
"Vos ami(e)s?"
"Réaliser vos rêves?"
"Faire ce que vous aimez?"
"Apprendre?"
"Défendre une cause?"
"Relaxer?"
"Prendre le temps...?"
"Ou... toute autre chose?"


Ce qu'il faut retenir,
c'est l'importance de mettre
ses GROS CAILLOUX en premier dans sa vie,
sinon on risque de ne pas réussir...sa vie.
Si on donne priorité aux peccadilles
(le gravier, le sable),
on remplira sa vie de peccadilles
et on n'aura plus suffisamment de temps
précieux à consacrer
aux éléments importants de sa vie.


Alors, n'oubliez pas de vous poser
à vous-même la question :
"Quels sont les GROS CAILLOUX dans ma vie?"
Ensuite, mettez-les en premier
dans votre pot (vie)"


D'un geste amical de la main,
le vieux professeur salua son auditoire
et lentement quitta la salle.


Bonne réflexion!
J'ai reçu ce texte de Monic et René le 26-01-2000
Merci à vous deux xxx

L'Isolement (Poème de Merline - Québec)




Souvent sur la montagne, à l'ombre du vieux chêne,
Au coucher du soleil, tristement je m'assieds.
Je promène au hasard mes regards sur la plaine,
Dont le bateau changeant se déroule à mes pieds.

Ici gronde le fleuve aux vagues écumantes.
Il serpente et s'enfonce en un lointain obscur.
Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes,
Où l'étoile du soir se lève dans l'azur.

Au sommet de ses monts couronnés de bois sombres,
Le crépuscule jette encore un dernier rayon
Et le char vaporeux de la reine des ombres,
Monte et blanchit déjà les bords de l'horizon.

Cependant, s'élançant de la flèche gothique,
Un son religieux se répand dans les airs.
Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique,
Aux derniers bruits du jour, mêle de saints concerts.

Mais à ces doux tableaux mon âme indifférente,
N'éprouve devant eux ni charme ni transports.
Je contemple la terre ainsi qu'une ombre errante.
Le soleil des vivants n'échauffe pas les morts.

De colline en colline en vain portant ma vue,
Du sud à l'aquilon, de l'aurore au couchant,
Je parcours tous les points de l'immense étendue.
Et je dis; '' Nulle part, le bonheur ne m'attend ''.

Que me font ces vallons, ces palais, ces chaumières?
Vains objets dont pour moi le charme est envolé.
Fleuves, rochers, forêts, solitude si chère,
Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé.

Que le tour du soleil ou commence ou s'achève,
D'un oeil, indifférent je le suis dans son cours.
En un ciel sombre ou pur qu'il se couche ou se lève.
Qu'importe le soleil? Je n'attends rien des jours.

Quand je pourrai le suivre en sa vaste carrière.
Mes yeux verront partout le vide et les déserts.
Je ne désire rien de tout ce qu'il éclaire.
Je ne demande rien à l'immense Univers.

Mais peut-être au-delà des bornes de sa sphère.
Lieu où le vrai soleil éclaire d'autres cieux.
Si je pouvais laisser ma dépouille sur terre.
Ce dont j'ai tant rêvé, paraîtrait à mes yeux!

Là, je m'enivrerais à la source où j'aspire.
Là, je retrouverais et l'espoir et l'amour.
Et ce bien idéal que toute âme désire,
Et qui n'a pas de nom au terrestre séjour?

Que ne puis-je porter sur le char de l'Aurore.
Vague objet de mes yeux, m'élancer jusqu'à toi!
Sur la terre d'exil, pourquoi rester encore?
Il n'est rien de commun entre la terre et moi.

Quand la feuille des bois tombe dans la prairie
Le vent du soir s'élève et l'arrache aux vallons.
Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie
Emportez-moi comme elle, orageux aquilons.

Le Vieux Sage






Sur la montagne sacrée du vieux sage
Chantant plus fort pour avoir du courage
Ils les avaient amenés vers ces lieux inconnus
Par ces chemins tortueux se guidant à l’étoile
Dans ce ciel où elles formaient une toile

Parlant aux dieux que lui seul connaissait
En demandant une protection, il priait
En faisant toutes sortes d’incantations
Leur promettant dans sa vie de les sanctifier
Ce serait eux qui seraient servis les premiers

Des peurs de l’inconnu de leur imagination
Sans un seul mot avec une résignation
Je vous servirait même si je ne vous vois pas
Et depuis, tous ensemble, ils marchaient
C’était l’eldorado qu’ils voulaient trouver

Les pluies froides venant des neiges éternelles
Leurs dos glacés, ils devenaient tous des mortels
Leurs peaux dessus pour calmer ces douleurs
Suivre les astres du ciel, l’étoile d’Orion
Le vieux sage était devenu leur père spirituel

Pourtant la fatigue faisait leur désespoir
Recouverts de neige, les protégeant du froid
Empêchant leur cerveau de mourir à l’instant
Avec comme espoir d’arriver tous vivants
Pas seulement comme des survivants

Parcourant ces sentiers difficiles.
Se suivant lentement à la file
C’était eux les véritables aventuriers
Découvrir ce monde, la vallée de l’espoir
Mais la peur était là, teintée de désespoir

Cette grande chevauchée celle des anciens
Celle à laquelle, ils ne connaissaient rien
Et avec les paroles douces du vieux sage
Par ces mots venant d’un lointain passé
Les répétant sans cesse, sans divaguer

Ne voulant pas aller vers un naufrage
Cela aurait été pour lui un véritable outrage
Ils passeront encore, des lunes dans ces dunes
Sous les rayons du soleil si brûlant
Les affres d’une soif, tous les accablant

Au-dessus d’eux volaient, ces grands rapaces
Ces aigles, ces vautours, attendant les carcasses
En dépouillant les corps de quelques moribonds
Qui mourraient lentement de ce si long voyage
C’était là maintenant leur dernier passage

Leurs cris stridents faisaient peur aux enfants
Le souffle court, la voix muette un instant
Leurs craintes apaisées, ils étaient protégés
Par les prières du vieux sage, par les aînés
Ils connaissaient bien tout, ces mauvais présages

Il avait su garder en mémoire les souvenirs
Les mots que lui seul connaissait pour le soir
Et tous l’écoutaient dans un profond silence
Ces paroles inconnues qui venaient du passé
Il les avait apprises avec les légendes

Au loin là-bas un ciel gris de nuages
Amenant peut-être bien les orages
Et ces incantations implorant cette pluie
Ces quelques gouttes d’eau apaisant leurs envies
Rafraîchir les corps, donnant un nouvel espoir

Claudius le 10 Décembre 1999.





Le paradoxe d'aujourd'hui




On produit plus de nourriture, mais plus de gens ont faim.


On a plus de connaissances, mais moins de d'éducation.


La richesse augmente, mais les gens s'appauvrissent.


On connaît beaucoup de gens, mais on a peu d'amis.


On sait comment gagner sa vie, mais on ne sait pas comment vivre vie.


Nos gouvernements veulent la paix, mais vendent des armes.


On a plus de loisir, mais on est moins heureux.


On sait comment réussir dans la vie, mais on ne sait pas comment réussir sa vie.


On gagne plus, on dépense plus, et on partage moins.


On construit de plus grandes maisons, mais les familles sont plus petites.


On a de plus de commodités, mais moins de temps disponible.


Plus on augmente le nombre de médecin, plus les gens sont malade.


On augmente la durée de la vie, et on demande l'euthanasie.


On a plus de spécialistes, plus de problèmes et moins de solutions.


Plus les moyens de communication augmentent, moins on se parle moins.


Avant, une maison connaissait plusieurs génération,
Aujourd'hui, une génération connaît plusieurs maisons.


En une journée, on traverse un continent, en une vie,
on à peine à traverser la rue pour connaître son voisin.

Anonyme.

Pensée du jour du 17 juin 2008




Le bonheur n'existe pas dans le demain mais dans

l'instant présent - (01/05/2003)



Une Pensée de CLARA

Pensée du jour du 16 juin 2008



« Il faut réveiller en soi
la force d'oser entreprendre quelque chose. »

Pensée du jour du 12 juin 2008




« Beaucoup de gens,
peu d’idées,
et comment faire
pour nous différencier
les uns des autres ? »

Milan Kundera, écrivain




Qu'est-ce que la Confiance,

C'est une amie.



Elle nous accompagne

sur le déroulement de nos vies.



Oui, je vois, crédule vous dites !



Croyez-le ou ne le croyez pas,

mais au fond,

lorsque vous lui ouvrez la porte

la porte de votre cœur

Que se passe-t-il ?



Elle y entre, et,

tout change.

Tout Change.



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Pensée du jour du 11 juin 2008




"L’annonce d’un événement tragique ou d’une très heureuse surprise peut provoquer une telle émotion chez un être qu’il en est terrassé. Pourtant, qu’est-ce qu’une nouvelle ? Comment se fait-il que cette chose immatérielle soit capable de bouleverser quelqu’un au point de le rendre malade, fou, de le tuer même… ou au contraire de produire une guérison miraculeuse ?

Une mère est paralysée depuis des années. Une nuit, un incendie se déclare dans la maison. Son enfant dort dans une autre chambre. Le choc que produit sur elle la pensée que son enfant peut brûler vif est si fort qu’elle s’élance pour le saisir et le mettre à l’abri. Oui, sous l’effet de son amour, le contact entre le système nerveux et les muscles s’est à nouveau rétabli. C’est arrivé très rarement, bien sûr, mais c’est arrivé. Alors, pourquoi ne pas étudier ces phénomènes ? Vous me direz qu’on les connaît depuis longtemps. Oui, peut-être, mais cela vous a-t-il amené à étudier ces mécanismes afin d’améliorer certains de vos états ?"





« C'est celui qui s'égare qui découvre de nouveaux chemins. »


Nils Kjaer, poète norvégien

Pensée du jour du 8 juin 2008




« L'homme de bien ne demande rien qu'à lui-même ;
l'homme de peu demande tout aux autres.»


Confusius

Pensée du jour du 7 juin 2008






« Il est poli d'être gai. » Voltaire, écrivain et philosophe

50 Façons de goûter la vie



Dans les grandes villes, le marché m’apparaît comme un des rares lieux de chaleur humaine et d’authenticité. On peut savourer le bon sens et l’humour des marchands en faisant un brin de conversation : les propos ne tournent pas seulement autour du temps qu’il fait, mais on parle avec franchise de l’air du temps. On échange aussi des nouvelles sur la santé, sur la famille, sur les voyages que l’on a effectués pendant les vacances… Des liens se créent spontanément, qui peuvent durer le temps d’un achat ou devenir plus constants, sans aucune obligation. C’est le sens même de la gratuité des relations humaines. Oui, je vois la bonté partout sur les marchés : bonnes choses proposées à l’étal, joliment disposées, et bonnes odeurs ; prodigalité de la nature en toutes saisons, conviant l’acheteur à la gratitude envers la terre nourricière ; amabilité des marchands, qui font souvent bon poids et offrent à un enfant un fruit ou une friandise… Voilà un grand remède à la tristesse et à l’isolement des citadins. On en revient le visage éclairé, le cœur content, on y retrouve l’appétit de vivre.







Lire un auteur qui nous rend plus ouvert, plus humain, plus lucide. Poser le livre, relire les passages que l’on aime et qui nous parlent.

Pensée du jour du 6 juin 2008



LISA NICHOLS : Auteur



Vous êtes arrivé à un carrefour de votre vie simplement parce qu'une chose en vous ne cessait de répéter : “Tu mérites d'être heureux.” Vous êtes né pour ajouter de la valeur à ce monde, pour être simplement le meilleur que vus pouvez être. chaque chose, chaque moment que vous avez vécu, chaque chose que vous avez traversé vous ont servi à vous préparer pour ce moment-ci. A présent vous comprenez que vous êtes le créateur de votre destinée. Imaginez ce que vous pouvez faire dorénavant avec ce que vous savez maintenant. Que ferez-vous de l'instant? Comment saisirez-vous l'instant? Personne d'autre ne peut danser votre danse, chanter votre chant, écrire votre histoire. Celui que vous êtes, ce que vous faites commence tout de suite.

Pensée du jour du 4 juin 2008





Quand vous suivez votre félicité, vous vivez dans un espace constant de joie, vous vous ouvrez à l'abondance de l'Univers. Vous êtes heureux de partager votre vie avec ceux que vous aimez et votre ravissement, votre passion, votre félicité deviennent vite contagieux.

LISA NICHOLS : Auteur

50 Façons de goûter la vie



P
endant un mois, ne plus tergiverser : donner l’aumône à tous les pauvres et quêteurs qui vont la solliciter. À la fin du mois, comparer le budget investi et le plaisir obtenu.




M
anger avant de faire la cuisine

Faire les courses n’est pas ce pur moment d’allégresse tel qu’on le vante dans les reportages. Souvent il y a du monde, les poignées de sacs plastiques vous scient les phalanges et la petite monnaie ne vient pas… Non, le parfait mouvement de grâce dans les commissions c’est au moment de déposer les vivres fraîches dans la cuisine. Tout est là en vrac, une symphonie à venir, tout est frais, tout sent bon, le beurre, la viande, les herbes et les légumes, mais par-dessus tout ce qui fait craquer c’est le pain quand on le sort de son papier. On n’y résiste pas, on rompt un bout, on l’accompagne avec tout. Un morceau de beurre, pour commencer, puis de fromage, juste pour goûter, et le saucisson, tant qu’à faire, voir s’il est vraiment sec, avec juste une petite goutte de vin, rien que pour le goût, et un bout de pain encore. Après quoi on lance la cuisson du rôti, on re-goûte une petite rondelle de saucisson, cette fois-ci avec un cornichon, pour voir… C’est comme ça qu’on mange en faisant la cuisine, on se régale avant le repas, avec soi.




P
laisir d’été :

s’allonger dehors, la nuit, dans une couverture et regarder les étoiles.

Pensée du jour du 3 juin 2008





"La forme a toujours des affinités avec la matière, et les êtres qui s’arrêtent uniquement sur la forme perdent l’intensité, la subtilité de la vie, ils se figent. Or, la loi de la vie, c’est l’évolution : de nouveaux courants, de nouvelles forces ne cessent d’apparaître pour casser les formes qui se sont pétrifiées.
Regardez les pierres : il y a toujours des marteaux et des machines pour venir les casser, les broyer. Le destin des pierres, c’est d’être cassées. Et le destin de tous les humains qui laissent la matière dominer en eux, c’est aussi d’être cassés un jour. On peut dire que la vie oscille entre deux pôles : l’esprit et la matière. Et lorsque l’esprit qui se caractérise par la mobilité, la souplesse et la subtilité, vient se manifester, rien ne peut résister à ces forces de renouvellement ; toutes les formes qui ont vieilli, qui se sont figées se disloquent. Le temps, c’est-à-dire les forces de la vie, finit toujours par les bousculer pour les obliger à se renouveler."